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Palpitations ~~


Aoru
Eliraan
Aoru
Aoru
Race : Eliraan
Fonction : Métier à renseigner dans la zone RPG
Richesse : 11
Puissance : 3/5
Pouvoirs : Un kodachi artefact qui, quand il est éveillé, attributs des oreilles et 9 queues de Kistune à son porteur. Augmentant ses sens.
Exodial : Nom / Race
Image du personnage : Palpitations  ~~ Original
Race : Eliraan
Fonction : Métier à renseigner dans la zone RPG
Richesse : 11
Puissance : 3/5
Pouvoirs : Un kodachi artefact qui, quand il est éveillé, attributs des oreilles et 9 queues de Kistune à son porteur. Augmentant ses sens.
Exodial : Nom / Race
Image du personnage : Palpitations  ~~ Original
Race : Eliraan
Fonction : Métier à renseigner dans la zone RPG
Richesse : 11
Puissance : 3/5
Pouvoirs : Un kodachi artefact qui, quand il est éveillé, attributs des oreilles et 9 queues de Kistune à son porteur. Augmentant ses sens.
Exodial : Nom / Race
Image du personnage : Palpitations  ~~ Original
Lun 5 Juil - 19:04


    «  Tu es un idiot »

    Hum, tant qu’elle acceptait mes conditions et ma proposition elle pouvait bien penser de moi ce qu’elle voulait. Un sourire fugace passe dans mon regard, bien plus que sur mon visage. Nous prîmes à cet instant une décision tacite, totalement informulée mais tellement évidente que ni elle ni moi ne la remettrions jamais en cause, celle de se jauger mutuellement. C’est bien de se jurer une allégeance de trois ans sans rechigner, mais avec deux caractères forts, et des envies de meurtre très fortes, autant prendre des gants et être certain de pouvoir se supporter. J’avais été à sa place, il y a bien longtemps, alors que mon âme se perdait dans les méandres de Nëridia et bien avant que mon corps ne soit sauvé par l’ange de la mort.

    Ce fut le début de quinze jours de combat. Entremêlés de pauses, de conseils et de canalisations. Ma future disciple était comme une nouvelle née, toujours avide de sang et de poings, et quand sonnait l’heure du repos, elle ne savait pas faire. Nous apprîmes ainsi à nous connaître, laissant nos poings et nos lames parler pour nous. J’avais réussi à canaliser les crocs, il fallait encore gérer la force, sans parler de la bête sanguinaire qui sommeillait dans le corps frêle de la jeune Ella. Mais je n’étais pas inquiet, je me savais capable de la canaliser, j’avais toute confiance en mes capacités sur ce point. Elle était certes bestiale, mais la violence de ses coups n’excédait pas celle de mon défunt maître. Je pouvais aisément me servir de mon entraînement, des techniques et esquives que j’avais acquis à force de pratique pour passer sous ses poings déchaînés et prendre l’avantage lors de nos combats. Sa vitesse, innée chez elle en raison de sa race, était vite contre balancée par son manque d’imagination, son style de combat était trop académique. Comme une lame forgée dans un but précis et sans fioriture, le style d’entraînement qu’on recevait en caserne militaire et qui annulait complètement les capacités de naissance. Un beau gaspillage disait Maître Miloniä, et je la rejoignais complètement. Mais au niveau de Ella, ce n’était pas un savoir acquis, plutôt des réminiscences d’une vie antérieure, son esprit avait oublié mais pas son corps et le combo des réflexes du à l’entraînement et la vitesse en faisait une guerrière redoutable… Dans la catégorie bourrin sans cervelle. Il était facile de lire ses mouvements, la force de l’habitude faisait qu’il m’était simple de comprendre le sens de son attaque. J’avais vite compris qu’il n’était pas dans les habitudes de combat de la jeune vampire de changer l’orientation de ses coups au milieu d’une attaque. Cette petite me plaisait décidément de plus en plus, elle représentait un défi intéressant pour le maître assassin que j’étais. Le plus compliqué serait certainement de la discipliner aux us et coutumes de ma guilde.

    Deux semaines suffirent pour qu’on s’accepte. Pour que les choses soient mises à plat, qu’elle comprenne que sans la discipline elle n’aurait pas le dessus. Que je comprenne que jamais elle n’abandonnerait son idée de vengeance de notre premier combat. Sa soif de sang s’était doucement transformée, laissant place à une soif de savoir bien moins dangereuse pour moi.

    La troisième semaine fut ponctuée par un voyage, bien que maître officiel de la guilde j’avais quand même des devoirs envers ma communauté notamment celui de présenter mon élève au reste de ma société. Je prenais le temps d’expliquer à la jeune femme le fonctionnement de notre ordre, l’influence inexistante des pays, les grades, la différence entre les assassins et les mercenaires, le détail des missions qui nous était données… Je passais rapidement sur les tests qu’elle devrait passer lors de sa présentation, ils ne seraient qu’une formalité tant son aisance au combat était évidente. La seule ombre était le test avec Phatalys, personne ne savait réellement ce que l’artefact recherchait dans l’âme des apprentis, mais je savais qu’une seconde Miloniä n’était pas encore née. Cette certitude était ancrée en moi pour le moment, comme un sentiment que l’Islin de l’ordre n’avait réellement terminé sa mission auprès de nous. Au terme de quatre jours de voyage, les murs de la cité fortifiée, Myridia, furent en vue. Je décidais de faire une pause, prenant le temps nécessaire pour assouvir la soif de mon élève auprès d’un manant acceptant quelques pièces pour son silence et son poignet. Je pris également le temps de rappeler à ma jeune disciple que rien n’était plus important que la discrétion chez les assassins et qu’un massacre n’avait pas sa place dans la définition de ce mot. D’autant que les humains étaient une espèce assez faible, si je pouvais éviter l’extinction d’une espèce vivante, mon propre peuple m’en serait certainement reconnaissant. Une fois certain que les règles étaient entrées dans sa tête et bien ancrées, nous prîmes la route. Effectuant sans mal les quelques kilomètres qui nous séparait des portes. Nous entrâmes dans la cité sans soucis, le passe-droit des assassins m’avait toujours fait rire, mais je n’étais pas là pour faire un cours à ma jeune accompagnante, pas encore. Je pris la direction d’une tour, une parmi d’autres, que rien ne présageait être différente mais pourtant, c’était là, le siège de la Sylthä Yawë. J’entrais, Ella sur mes talons, ne prêtant qu’une oreille amusée aux murmures dont je connaissais le contenu par cœur. Tous s’interrogeaient sur Elle, qui était elle, pourquoi je l’emmenais ici, quelqu’un aurait-il enfin trouver grâce aux yeux de SON élève… Je tiquais quand j’entendis cela, mon maître n’avait rien à voir avec mon choix de ne pas prendre de disciple, mais pour faire entendre raison aux langues de vipère, il faudrait plus que quelques disparitions inquiétantes. Je me murais donc dans le silence, laissant les commères user de leurs langues puisqu’elles ne savaient pas user de leurs lames. Bien sur, n’ayant pas activé l’artefact qui enfermait mes attributs de renard, je ne comprenais pas le sens complet des paroles. Tout ceci n’était que spéculation, mais je savais que si besoin, la vampire à coté de moi, elle, entendait tout et ce ferait un plaisir de me rapporter leurs propos, surtout si je lui assurais quelques effusions de sang en retour. Mais déjà nous arrivions devant la salle obscure enfermant le présentoir de l’épée artefact de notre guilde, Phatalys. Je fis signe à Ella d’entrer en premier, me faufilant dans son ombre pour ne pas être perçu. J’avais prévenu mon apprenti de ce qu’elle devrait faire, nous n’avions plus qu’a attendre que tous les élèves passent devant le jugement de l’arme. Au nombre de cinq, à l’âme aussi insipide que celles de leurs maîtres. Je retins un soupir, ce n’était certainement pas aujourd’hui qu’un Islin serait élu, personne parmi les enfants que j’avais devant moi ne trouverait grâce auprès de la noble épée. J’avais seulement un doute pour Ella, à quel point mon jugement était-il bon ? Phatalys, l’épée qui était la cause de tant de mes souffrances à l’époque de mon propre apprentissage, trouverait-elle l’âme de la vampire aussi intéressante que ce que j’avais vu ? Saurait-elle déceler cette lueur intrigante que j’avais perçue dans son regard alors que le fil de nos lames se croisait pour la première fois. Les cinq premiers passèrent avec un échec retentissant, pas un ne fit frémir le cœur de métal de Phatalys, chacun des échecs fut couronner de murmures et de soupirs de soulagement, personne ne voulant avoir la charge de l’apprentissage du futur Islin. Ce fut au tour de Ella de s’avancer, et de poser la main sur la vitrine protectrice. A mon tour de cesser de respirer quand la noble épée s’alluma… Pour s’éteindre une seconde plus tard. Incompréhension dans les rangs des Honorables présents, moi je souriais. Je savais que je n’avais pas fait d’erreur, que l’épée venait juste de déceler ce que moi j’avais vu quelques semaines avant, les prémices d’une grande dame parmi nos rangs. J’étais fier ! Fier de moi-même parce que je n’avais pas ramener n’importe quel apprenti vide de sens, parce que j’avais fais honneur au nom de mon illustre maître. Mais aussi fier d’elle, parce qu’elle ne se laissait pas faire, elle luttait pour le contrôle d’elle même alors que l’épée cherchait à comprendre, fouillant dans la tête de mon élève. Elles finirent par se séparer, l’une sur les fesses dans une position trop ridicule pour ne pas esquisser un sourire, l’autre luisant doucement, contente de ce qu’elle avait trouvée. Mais ses runes restèrent grises, Ella n’avait la flamme que recherchait l’artefact. Je m’avançais, une lueur de défi dans le regard, je fis le tour de l’assemblée avant de relever ma disciple et de parler, révélant mon rôle de maître pour la première fois depuis bien longtemps :

    «  Bienvenue dans la Sylthä Yawë, Ella ! »

    Je mis la main sur l’épaule de mon élève, m’adressant directement aux vieux schnock du conseil que je savais présent dans la salle

    «  Phatalys à reconnue la valeur de mon choix, mais n’a pas souhaiter la reconnaître comme héritière de mon maître. A partir de maintenant, elle est mon élève ! »

    Je laisser chacun identifier la menace cachée dans mon propos. Je savais que tous comprendrais la phrase et le sens profond de mes paroles. Mais il était inutile d’en dire trop, si les esprits des ancêtres qui étaient a notre tête était trop lents pour comprendre les sous entendus, notre guilde n’irait pas loin et ne ferais pas long feu. Je partis immédiatement après ma phrase, ne laissant pas le temps de la réponse aux Honorables, je préférais mener ma disciple en lieu sure, dans le bureau le plus haut de la tour, c’était mon lieu d’entraînement, mon terrain de jeu et le coffre de mes larmes, SON ancien bureau. J’invitais Ella à s’installer dans l’un des canapés, préférant la rudesse du fauteuil de mon maître pour la discussion qui suivrait. Elle devait maintenant jurer, promettre de m’offrir trois années complète de son existence, trois années durant lesquelles, elle ne fera qu’obéir, apprendre, respecter, accepter et enregistrer. Au terme de ses trois années, et d’une épreuve finale, elle serait officiellement Assassin. J’en vins ensuite aux détails de sa formation et nous entrâmes immédiatement dans le vif du sujet puisque je la laisser au mains des maîtres assassins en charges des apprentissages généraux. La théorie n’étant pas mon fort, elle apprendrait les rudiments des techniques avec eux, normalement pendant une année, mais au vu de ses compétences j’avais des doutes.

    Les matinées étaient occupées à des duels entre Maître et élève, ainsi chaque matin je l’attendais sur les plateformes de combat. Lui tombant dessus chaque jours différemment jusqu’à ce qu’elle fut capable de me sentir dans n’importe qu’elle configuration. Artefact actif ou non, sur le terrain d’entraînement ou dans la salle de classe,… Partout, en toutes occasions. Les duels plus académiques que nous pouvions offrir à regardais était suivis par de nombreux curieux, certain rêvant juste à un niveau de maîtrise trop important pour eux, d’autre souhaitant voir leur bourreau mordre la poussière. Parce que tel était le cas, Ella, ne laisser que peu de place à l’échec lors des combats d’entraînement avec les autres apprentis. Elle passait ses après midi à mettre à mal ses petits camarades, comme moi avant elle et comme Miloniä avant moi. On m’avait raconter que certains sortait ainsi du lot parfois, nécessitant une approche plus… spéciale. Mais j’en était ravie. Elle m’affronter sur un pied d’égalité, cherchant visiblement à prendre une revanche mérité sur l’humiliation subit lors de notre première rencontre. Mais ses mouvements étaient encore trop prévisibles. Elle accordait trop d’importance à son instinct, modeler pour des mouvements académiques. Moi je me sentais revivre, comme une lame émoussée qui, petit à petit, a force de limage et d’aiguisage, reprend forme et redevient aussi fine que le fil de corde à piano meurtrière. Les jours défilèrent ainsi en se ressemblant, ne restant en ville que le matin, partant ensuite dans les contrées vampire autant pour accomplir des missions simple que pour chercher des indices sur Ella. Mais autant chercher une aiguille dans une foret de pins, chercher une soldate vampire à la fin d’une guerre meurtrière était impossible, quand bien même elle avait un caractère bien trempé et les cheveux rouges.

    Il passa six mois, six mois de duels, de combats et de mise à mort. Six moi de recherches veines. Mais six mois de plénitude pour moi, je vivait nos duels comme une renaissance, ressortant les ruses, que je prenais pour idiotes de mon maîtres, et riant de leurs efficacités. Je me sentais vivant. Mais arriva le jour de ma défaite. Fatigue, euphorie, erreur de mouvement, exécution hasardeuse d’un combo et progrès fulgurant d’une vampire en mal d’apprentissage, je passais à un cheveux de la mort. Transformant ce que mon esprit avait enregistré comme mon dernier instant, un coup parfaitement porté à la gorge provoquant mon égorgement pur et simple, en une fine morsure de métal sur la peau.Ne lançant qu’une ligne à peine visible parmi des cicatrices refermées depuis longtemps. Il ne lui avait que six mois pour arriver à me vaincre, cela marquer des progrès fulgurants, une soif d’apprendre extrême. Les choses sérieuses commencèrent donc en cet instant, compte tenue de son état mémoriel, nous ne pouvions la lâcher comme les autres. Je décider donc de la prendre avec moi pour des missions plus compliquées, plus risquées, nécessitant du doigté, de la finesse mais aussi de la force de caractère. Nous prirent le temps de poser des limites, décidant, de ne jamais aller en territoire Vampire, elle en était encore incapable, et croiser sa famille aurait-pu avoir des conséquences tragiques. J’imposais aussi de se tenir loin des garnisons militaire, ils reconnaîtraient facilement l’un des leurs en cas de besoin. Nous partîmes donc pour d’autres cieux, d’abord ensemble, il me fallait lui apprendre des choses. Les techniques, les astuces, lui inculquer les savoir ancestraux. Lui dévoiler les secrets de la guilde. De grès ou de force, elle devait apprendre, enregistrer et reproduire les méthodes et techniques. Lui permettre de mettre en pratique ses savoirs, sa vitesse naturel, et son agilité acquise par la force des entraînements. Développer le potentiel, jusque la brider, qui sommeillé en elle. Lui apprendre à user de ses charmes comme de ses lames pour arriver à ses fins.

    Et une nouvelle fois, elle créa la surprise. Réussissant les épreuves après quelques mois, alors que la norme voulait qu’une année complète au minimum soit nécessaire. Ce que les apprentis faisaient en deux années, elle l’avait fait en une seule. Aussi je pris le temps pour monter en puissance. L’autorisant d’abord à œuvrer seule, avec mon ombre dans le dos. J’accomplissais l’exécution des témoins qu’elle avait pu négliger, laisser la signature des assassins qu’elle n’était pas encore habituée à laisser. Je vérifier son travail, rectifier son passage, couvrais ses effusions de sangs quand elle était prise de folie sanguinaire. Quand arriva le jour ou elle ne fit plus d’erreur, pendant plusieurs missions d’affiler je lui accordais enfin ma pleine confiance. Lui laissant plus de marge de manœuvre. Une année et demi était passée depuis qu’elle m’avait traité d’idiot au fond de la foret des Falariels, et je n’avais presque plus rien à lui apprendre. Elle était aujourd’hui digne du titre d’assassin mais jamais les notables de la guilde n’accepteraient, trop habitués à la médiocrité ambiante pour comprendre la valeur d’un élément d’exception. Alors, durant l’année qui suivit, je l’autorisait à vaquer un peu à ses propres missions, la laissant choisir sur le tableau de chasse ses cibles, rang B ou C, pas plus haut, ne voulant pas attirer l’attention. Elle chassait, faisait un rapport détaillé à son retour. Nous échangions quelques coups lors de combats d’entraînements, ne voulant, ni l’un ni l’autre rouiller face à trop de facilitée. Je lui tends parfois des pièges, surgissant d’un coin de rue alors qu’elle chasse une cible que je juge trop facile pour ses capacités. Elle apprends vite, grandit, deviens ce que tous apprenti tendent à devenir, l’égale de leurs maître.

    Voici maintenant un ans et demi qu’elle est avec moi. Je suis fier d’elle et quand bien même je ne le dirais jamais réellement elle le sait. Mais il est temps pour l’oisillon de quitter le nid. Elle qui me demande toujours des missions de plus en plus compliquées, il est temps. Une mission de classe S, que normalement seul les Maîtres assassins peuvent accepter. J’avoue que je la gardais pour plus tard mais devant ses progrès je sais qu’elle est prête, et il faut bien se résigner. Je me souviens de ma propre épreuve finale,… un assassinat dans le palais royale Falariel au nez et à la barbe de l’unité de protection spéciale. Un beau cadeau de la part de mon maître. J’espérais être digne de son héritage avec mon idée.

    Je convoquais Ella dans le bureau que nous avions pris l’habitude d’occuper pour nos réunions stratégiques. Je lui offris cette mission sans rien lui dire de son épreuve. Mentionnant juste que cette mission était de Rang S, et que je lui demandais donc d’être prudente. Je la suivrais, pour évaluer ses actions, restant dans l’ombre éternel sans jamais me laisser voir et percevoir. Savoir si elle était aptes ou non, si elle mérité de passer au grade d’assassin, si elle mérité sa nouvelle tenue que j’avais fais préparer pour elle si elle réussissait cette épreuve. Miloniä m’avait offert un Kimono le jour de notre séparation, je trouvais l’idée intéressante. Je la laissais donc préparer ses affaires et se mettre en route pour la mission la plus dangereuse de sa vie. Elle mit le cap sur Roncëlyon, sa terre natale. Objectif, l’assassinat d’un notable de la couronne, un peu trop curieux aux regards de ses camarades.



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